Des naturalistes et des biologistes sont chargés d’étudier la faune et la flore égyptiennes. Les géomètres doivent faire un maximum de relevés topographiques pour dessiner la carte des régions visitées. Des archéologues sont chargés d’étudier l’architecture et notamment les mystérieuses pyramides. Si l’Europe connaît déjà l’Égypte, elle la connaît mal, car l’écriture ancienne égyptienne n’a pas encore révélé ses secrets. Il faudra attendre 1821 pour que Champollion ne déchiffre son premier cartouche de hiéroglyphes. Les scientifiques ont été emmenés en Égypte, d’abord pour aider les soldats à conquérir l’Égypte. Bonaparte savait que les routes seraient rares, mal entretenues, qu’il faudrait fabriquer des munitions sur place, trouver des moyens de se nourrir… L’aide des scientifiques va être précieuse et le travail ne va pas manquer ! Ces savants, dont beaucoup ont entre 20 et 30 ans, découvrent avec enthousiasme une culture et une société très différentes des leurs. Mais ils viennent aussi avec l’intention de partager les connaissances scientifiques européennes avec les Égyptiens. Il faut dire que le constat fait sur place est amer pour ces occidentaux : « à notre arrivée en Égypte, nous avons tous été frappés d’étonnement, en trouvant un peuple immense privé de choses utiles ou agréables à la vie, et luttant, faute des instruments les plus simples, contre les difficultés de toute espèce. » Dès le mois d’août 1798, Bonaparte crée l’Institut d’Égypte. Cet institut a pour président le savant Monge et pour vice-président le général Bonaparte. Il regroupe tous les scientifiques de l’expédition et se divise en quatre sections selon les spécialités : « mathématique », « physique », « économie politique », « littérature et arts ». Le journal La Décade Égyptienne est créé en même temps pour rendre compte des séances de l’Institut et informer sur les découvertes scientifiques.
Mais les Égyptiens ne connaissent pas encore l’imprimerie. Les Français en organisent une pour publier journaux, dictionnaires, brochures et affiches, afin d’informer et communiquer avec la population française et égyptienne. Des lettres d’imprimerie dans l’alphabet arabe sont donc fabriquées. Les Égyptiens découvrent avec quelle rapidité un livre peut être imprimé. Les savants ont pour mission de récolter le plus d’informations possibles sur l’Égypte, ils vont faire de nombreuses découvertes. Le savant Monge décrypte le phénomène de mirage, le naturaliste Etienne Geoffroy Saint-Hilaire révèle l’existence de poissons inconnus, et le dessinateur Redouté dessine toutes les espèces botaniques rencontrées. Les ingénieurs Jollois et Devilliers réalisent le relevé détaillé de nombreux monuments à Thèbes, Karnak, Abydos, Antaepolis.Les Français ont eux aussi beaucoup à apprendre des Égyptiens. Certaines pratiques et des machines seront exportées en France. Ainsi, en Égypte, le plâtre est travaillé dans un moulin, facilitant la vie de l’artisan alors qu’en France, il est encore travaillé au bras. Les Égyptiens ont également mis au point un système. Des naturalistes et des biologistes sont chargés d’étudier la faune et la flore égyptiennes. Les géomètres doivent faire un maximum de relevés topographiques pour dessiner la carte des régions visitées. Des archéologues sont chargés d’étudier l’architecture et notamment les mystérieuses pyramides. Si l’Europe connaît déjà l’Égypte, elle la connaît mal, car l’écriture ancienne égyptienne n’a pas encore révélé ses secrets. Il faudra attendre 1821 pour que Champollion ne déchiffre son premier cartouche de hiéroglyphes. Les scientifiques ont été emmenés en Égypte, d’abord pour aider les soldats à conquérir l’Égypte. Bonaparte savait que les routes seraient rares, mal entretenues, qu’il faudrait fabriquer des munitions sur place, trouver des moyens de se nourrir… L’aide des scientifiques va être précieuse et le travail ne va pas manquer ! Ces savants, dont beaucoup ont entre 20 et 30 ans, découvrent avec enthousiasme une culture et une société très différentes des leurs. Mais ils viennent aussi avec l’intention de partager les connaissances scientifiques européennes avec les Égyptiens. Il faut dire que le constat fait sur place est amer pour ces occidentaux : « à notre arrivée en Égypte, nous avons tous été frappés d’étonnement, en trouvant un peuple immense privé de choses utiles ou agréables à la vie, et luttant, faute des instruments les plus simples, contre les difficultés de toute espèce. » Dès le mois d’août 1798, Bonaparte crée l’Institut d’Égypte. Cet institut a pour président le savant Monge et pour vice-président le général Bonaparte. Il regroupe tous les scientifiques de l’expédition et se divise en quatre sections selon les spécialités : « mathématique », « physique », « économie politique », « littérature et arts ». Le journal La Décade Égyptienne est créé en même temps pour rendre compte des séances de l’Institut et informer sur les découvertes scientifiques.
Mais les Égyptiens ne connaissent pas encore l’imprimerie. Les Français en organisent une pour publier journaux, dictionnaires, brochures et affiches, afin d’informer et communiquer avec la population française et égyptienne. Des lettres d’imprimerie dans l’alphabet arabe sont donc fabriquées. Les Égyptiens découvrent avec quelle rapidité un livre peut être imprimé. Les savants ont pour mission de récolter le plus d’informations possibles sur l’Égypte, ils vont faire de nombreuses découvertes. Le savant Monge décrypte le phénomène de mirage, le naturaliste Etienne Geoffroy Saint-Hilaire révèle l’existence de poissons inconnus, et le dessinateur Redouté dessine toutes les espèces botaniques rencontrées. Les ingénieurs Jollois et Devilliers réalisent le relevé détaillé de nombreux monuments à Thèbes, Karnak, Abydos, Antaepolis.Les Français ont eux aussi beaucoup à apprendre des Égyptiens. Certaines pratiques et des machines seront exportées en France. Ainsi, en Égypte, le plâtre est travaillé dans un moulin, facilitant la vie de l’artisan alors qu’en France, il est encore travaillé au bras. Les Égyptiens ont également mis au point un système. Des naturalistes et des biologistes sont chargés d’étudier la faune et la flore égyptiennes. Les géomètres doivent faire un maximum de relevés topographiques pour dessiner la carte des régions visitées. Des archéologues sont chargés d’étudier l’architecture et notamment les mystérieuses pyramides. Si l’Europe connaît déjà l’Égypte, elle la connaît mal, car l’écriture ancienne égyptienne n’a pas encore révélé ses secrets. Il faudra attendre 1821 pour que Champollion ne déchiffre son premier cartouche de hiéroglyphes. Les scientifiques ont été emmenés en Égypte, d’abord pour aider les soldats à conquérir l’Égypte. Bonaparte savait que les routes seraient rares, mal entretenues, qu’il faudrait fabriquer des munitions sur place, trouver des moyens de se nourrir… L’aide des scientifiques va être précieuse et le travail ne va pas manquer ! Ces savants, dont beaucoup ont entre 20 et 30 ans, découvrent avec enthousiasme une culture et une société très différentes des leurs. Mais ils viennent aussi avec l’intention de partager les connaissances scientifiques européennes avec les Égyptiens. Il faut dire que le constat fait sur place est amer pour ces occidentaux : « à notre arrivée en Égypte, nous avons tous été frappés d’étonnement, en trouvant un peuple immense privé de choses utiles ou agréables à la vie, et luttant, faute des instruments les plus simples, contre les difficultés de toute espèce. » Dès le mois d’août 1798, Bonaparte crée l’Institut d’Égypte. Cet institut a pour président le savant Monge et pour vice-président le général Bonaparte. Il regroupe tous les scientifiques de l’expédition et se divise en quatre sections selon les spécialités : « mathématique », « physique », « économie politique », « littérature et arts ». Le journal La Décade Égyptienne est créé en même temps pour rendre compte des séances de l’Institut et informer sur les découvertes scientifiques.
Mais les Égyptiens ne connaissent pas encore l’imprimerie. Les Français en organisent une pour publier journaux, dictionnaires, brochures et affiches, afin d’informer et communiquer avec la population française et égyptienne. Des lettres d’imprimerie dans l’alphabet arabe sont donc fabriquées. Les Égyptiens découvrent avec quelle rapidité un livre peut être imprimé. Les savants ont pour mission de récolter le plus d’informations possibles sur l’Égypte, ils vont faire de nombreuses découvertes. Le savant Monge décrypte le phénomène de mirage, le naturaliste Etienne Geoffroy Saint-Hilaire révèle l’existence de poissons inconnus, et le dessinateur Redouté dessine toutes les espèces botaniques rencontrées. Les ingénieurs Jollois et Devilliers réalisent le relevé détaillé de nombreux monuments à Thèbes, Karnak, Abydos, Antaepolis.Les Français ont eux aussi beaucoup à apprendre des Égyptiens. Certaines pratiques et des machines seront exportées en France. Ainsi, en Égypte, le plâtre est travaillé dans un moulin, facilitant la vie de l’artisan alors qu’en France, il est encore travaillé au bras. Les Égyptiens ont également mis au point un système. Des naturalistes et des biologistes sont chargés d’étudier la faune et la flore égyptiennes. Les géomètres doivent faire un maximum de relevés topographiques pour dessiner la carte des régions visitées. Des archéologues sont chargés d’étudier l’architecture et notamment les mystérieuses pyramides. Si l’Europe connaît déjà l’Égypte, elle la connaît mal, car l’écriture ancienne égyptienne n’a pas encore révélé ses secrets. Il faudra attendre 1821 pour que Champollion ne déchiffre son premier cartouche de hiéroglyphes. Les scientifiques ont été emmenés en Égypte, d’abord pour aider les soldats à conquérir l’Égypte. Bonaparte savait que les routes seraient rares, mal entretenues, qu’il faudrait fabriquer des munitions sur place, trouver des moyens de se nourrir… L’aide des scientifiques va être précieuse et le travail ne va pas manquer ! Ces savants, dont beaucoup ont entre 20 et 30 ans, découvrent avec enthousiasme une culture et une société très différentes des leurs. Mais ils viennent aussi avec l’intention de partager les connaissances scientifiques européennes avec les Égyptiens. Il faut dire que le constat fait sur place est amer pour ces occidentaux : « à notre arrivée en Égypte, nous avons tous été frappés d’étonnement, en trouvant un peuple immense privé de choses utiles ou agréables à la vie, et luttant, faute des instruments les plus simples, contre les difficultés de toute espèce. » Dès le mois d’août 1798, Bonaparte crée l’Institut d’Égypte. Cet institut a pour président le savant Monge et pour vice-président le général Bonaparte. Il regroupe tous les scientifiques de l’expédition et se divise en quatre sections selon les spécialités : « mathématique », « physique », « économie politique », « littérature et arts ». Le journal La Décade Égyptienne est créé en même temps pour rendre compte des séances de l’Institut et informer sur les découvertes scientifiques.
Mais les Égyptiens ne connaissent pas encore l’imprimerie. Les Français en organisent une pour publier journaux, dictionnaires, brochures et affiches, afin d’informer et communiquer avec la population française et égyptienne. Des lettres d’imprimerie dans l’alphabet arabe sont donc fabriquées. Les Égyptiens découvrent avec quelle rapidité un livre peut être imprimé. Les savants ont pour mission de récolter le plus d’informations possibles sur l’Égypte, ils vont faire de nombreuses découvertes. Le savant Monge décrypte le phénomène de mirage, le naturaliste Etienne Geoffroy Saint-Hilaire révèle l’existence de poissons inconnus, et le dessinateur Redouté dessine toutes les espèces botaniques rencontrées. Les ingénieurs Jollois et Devilliers réalisent le relevé détaillé de nombreux monuments à Thèbes, Karnak, Abydos, Antaepolis.Les Français ont eux aussi beaucoup à apprendre des Égyptiens. Certaines pratiques et des machines seront exportées en France. Ainsi, en Égypte, le plâtre est travaillé dans un moulin, facilitant la vie de l’artisan alors qu’en France, il est encore travaillé au bras. Les Égyptiens ont également mis au point un système. Des naturalistes et des biologistes sont chargés d’étudier la faune et la flore égyptiennes. Les géomètres doivent faire un maximum de relevés topographiques pour dessiner la carte des régions visitées. Des archéologues sont chargés d’étudier l’architecture et notamment les mystérieuses pyramides. Si l’Europe connaît déjà l’Égypte, elle la connaît mal, car l’écriture ancienne égyptienne n’a pas encore révélé ses secrets. Il faudra attendre 1821 pour que Champollion ne déchiffre son premier cartouche de hiéroglyphes. Les scientifiques ont été emmenés en Égypte, d’abord pour aider les soldats à conquérir l’Égypte. Bonaparte savait que les routes seraient rares, mal entretenues, qu’il faudrait fabriquer des munitions sur place, trouver des moyens de se nourrir… L’aide des scientifiques va être précieuse et le travail ne va pas manquer ! Ces savants, dont beaucoup ont entre 20 et 30 ans, découvrent avec enthousiasme une culture et une société très différentes des leurs. Mais ils viennent aussi avec l’intention de partager les connaissances scientifiques européennes avec les Égyptiens. Il faut dire que le constat fait sur place est amer pour ces occidentaux : « à notre arrivée en Égypte, nous avons tous été frappés d’étonnement, en trouvant un peuple immense privé de choses utiles ou agréables à la vie, et luttant, faute des instruments les plus simples, contre les difficultés de toute espèce. » Dès le mois d’août 1798, Bonaparte crée l’Institut d’Égypte. Cet institut a pour président le savant Monge et pour vice-président le général Bonaparte. Il regroupe tous les scientifiques de l’expédition et se divise en quatre sections selon les spécialités : « mathématique », « physique », « économie politique », « littérature et arts ». Le journal La Décade Égyptienne est créé en même temps pour rendre compte des séances de l’Institut et informer sur les découvertes scientifiques.
Mais les Égyptiens ne connaissent pas encore l’imprimerie. Les Français en organisent une pour publier journaux, dictionnaires, brochures et affiches, afin d’informer et communiquer avec la population française et égyptienne. Des lettres d’imprimerie dans l’alphabet arabe sont donc fabriquées. Les Égyptiens découvrent avec quelle rapidité un livre peut être imprimé. Les savants ont pour mission de récolter le plus d’informations possibles sur l’Égypte, ils vont faire de nombreuses découvertes. Le savant Monge décrypte le phénomène de mirage, le naturaliste Etienne Geoffroy Saint-Hilaire révèle l’existence de poissons inconnus, et le dessinateur Redouté dessine toutes les espèces botaniques rencontrées. Les ingénieurs Jollois et Devilliers réalisent le relevé détaillé de nombreux monuments à Thèbes, Karnak, Abydos, Antaepolis.Les Français ont eux aussi beaucoup à apprendre des Égyptiens. Certaines pratiques et des machines seront exportées en France. Ainsi, en Égypte, le plâtre est travaillé dans un moulin, facilitant la vie de l’artisan alors qu’en France, il est encore travaillé au bras. Les Égyptiens ont également mis au point un système. Des naturalistes et des biologistes sont chargés d’étudier la faune et la flore égyptiennes. Les géomètres doivent faire un maximum de relevés topographiques pour dessiner la carte des régions visitées. Des archéologues sont chargés d’étudier l’architecture et notamment les mystérieuses pyramides. Si l’Europe connaît déjà l’Égypte, elle la connaît mal, car l’écriture ancienne égyptienne n’a pas encore révélé ses secrets. Il faudra attendre 1821 pour que Champollion ne déchiffre son premier cartouche de hiéroglyphes. Les scientifiques ont été emmenés en Égypte, d’abord pour aider les soldats à conquérir l’Égypte. Bonaparte savait que les routes seraient rares, mal entretenues, qu’il faudrait fabriquer des munitions sur place, trouver des moyens de se nourrir… L’aide des scientifiques va être précieuse et le travail ne va pas manquer ! Ces savants, dont beaucoup ont entre 20 et 30 ans, découvrent avec enthousiasme une culture et une société très différentes des leurs. Mais ils viennent aussi avec l’intention de partager les connaissances scientifiques européennes avec les Égyptiens. Il faut dire que le constat fait sur place est amer pour ces occidentaux : « à notre arrivée en Égypte, nous avons tous été frappés d’étonnement, en trouvant un peuple immense privé de choses utiles ou agréables à la vie, et luttant, faute des instruments les plus simples, contre les difficultés de toute espèce. » Dès le mois d’août 1798, Bonaparte crée l’Institut d’Égypte. Cet institut a pour président le savant Monge et pour vice-président le général Bonaparte. Il regroupe tous les scientifiques de l’expédition et se divise en quatre sections selon les spécialités : « mathématique », « physique », « économie politique », « littérature et arts ». Le journal La Décade Égyptienne est créé en même temps pour rendre compte des séances de l’Institut et informer sur les découvertes scientifiques.
Mais les Égyptiens ne connaissent pas encore l’imprimerie. Les Français en organisent une pour publier journaux, dictionnaires, brochures et affiches, afin d’informer et communiquer avec la population française et égyptienne. Des lettres d’imprimerie dans l’alphabet arabe sont donc fabriquées. Les Égyptiens découvrent avec quelle rapidité un livre peut être imprimé. Les savants ont pour mission de récolter le plus d’informations possibles sur l’Égypte, ils vont faire de nombreuses découvertes. Des naturalistes